La vidéo est de plus en plus utilisée, car elle capte bien l’attention et améliore le SEO. Mais la vidéo n’est pas qu’une image, et la piste audio a elle aussi son importance!

 

En 2013, les Québécois ont passé en moyenne 6h par jour devant un écran. Poussés au multitâche, les consommateurs multiplient les liens et vidéos. Le son devient alors aussi important que l’image!

 

Les risques d’une mauvaise qualité audio

 

La bande son complète une vidéo. Elle fait ainsi partie du premier contact avec l’internaute. Si la piste audio est de mauvaise qualité, c’est toute la vidéo qui sera mal considérée, et donc la marque sera elle aussi dévaluée!

 

La mauvaise qualité audio de votre vidéo institutionnelle ou publicitaire entraînera également une perte de spectateurs, et réduira le taux de partages et de vues.

 

Il faut également prendre en considération que les utilisateurs consultent de plus en plus de vidéos depuis leur téléphone intelligent, passant facilement d’une vidéo à une autre, et perdant en qualité sonore suivant l’appareil utilisé. Cette déperdition de qualité peut également avoir lieu à cause de l’utilisation d’écouteurs.

 

Une bonne qualité audio: une valeur ajoutée pour la marque

 

La bande son d’une vidéo influencera le reste de l’expérience du spectateur.

Elle peut avoir plusieurs fonctions nécessaires.

 

  • Les paroles et une voix-off, parfaitement audibles, ajoutent des informations à l’image et clarifient la vidéo. Sans elle, la plupart des vidéos et émissions perdent leur sens.

 

  • La musique peut appuyer les propos et véhiculer des émotions, tout en donnant du rythme à la vidéo. Elle peut également contextualiser la scène: ville, réunion, etc. Et au contraire, son absence donnera toute sa place au texte!
https://youtu.be/pfxB5ut-KTs

 

  • Insérer un jingle dans une web-série aide à la reconnaissance et à la mémorisation, tout en augmentant le capital affectif pour les vidéos, mais aussi pour la marque associée.
https://youtu.be/A3IV22FJIbc?list=PLC8F4F045037F9F3F

 

Le futur des vidéos commerciales: l’utilisation d’applications par les marques, et notamment Shazam.

L’application permet une interaction entre les écrans et des campagnes publicitaires interactives. Cette connexion entre la vidéo et l’application emmène le spectateur vers des contenus supplémentaires, tout en renforçant le lien marque-consommateur. La vidéo n’est donc plus passive, elle transforme le consommateur en acteur.

Certains magasins et cinémas incitent leurs visiteurs à se servir de cette application, et plusieurs marques comme Nissan ou Guerlain l’utilisent déjà massivement.

Et vous, seriez-vous près à ’Shazamer’ des publicités ? N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques ou expériences en commentaires!